samedi 30 septembre 2017

Knack II (Test)

Knack revient avec de nouvelles aventures qui prouvent que la taille compte vraiment. On a testé Knack II, voici le verdict…

L’HISTOIRE
Knack va cogner du gobelin dans cette aventure qui promet de révéler tous les secrets sur l’affrontement qui oppose les Humains à ces créatures avides de technologie et qui sont guidées par le terrible Gundahar. Accompagné de Lucas et de son oncle (rejoints par la pétillante Ava), Knack se lance dans l’aventure et n’oubliant pas de récolter de toute sorte de débris qu’il trouve sur sa route afin de grandir et devenir de plus en plus fort.
Note 4/5

L’IMAGE ET LE SON
Même si les personnages (et les monstres) ont un côté cartoon, il faut saluer le soin apporté aux graphismes, et (surtout) aux différents environnements qui sont aussi diversifiés que soignés. Bien sûr, la progression est linéaire et empêche la moindre exploration, ça n’empêche que l’on s’immerge dans des décors qui nous conduisent dans la jungle, dans des carrières à ciel ouvert, des paysages urbains ou plus ruraux ou, même, la cité des gobelins. C’est détaillé et le style graphique rend le tout très sympathique. Le design des monstres est également bien travaillé, le résultat est très cohérent, à l’image de la bande son qui colle parfaitement à chaque ambiance. La bande son de Knack II est si efficace qu’on la croirait tout droit sortie d’un film : C’est magistral.
Note 4/5

LE GAMEPLAY
Même si, sur la longueur, le gameplay de Knack II est répétitif, il n’en demeure pas moins bien ficelé et propose une variété bien dosée pour maintenir l’intérêt du début à la fin du jeu. Il faudra multiplier les combats contre de nombreux robots et autres gobelins et, afin de rendre la tâche plus facile, un arbre de compétence permet d’apporter des améliorations à Knack. À mesure que l’on avance, Knack apprend de nouvelles super aptitudes qui sont redoutables et, dans le même esprit, il faut dénicher des coffres cachés qui renferment des pièces qui permettent de former des gadgets (eux aussi) bien utiles dans l’aventure. Une grande variété de coups permet de sortir assez facilement des différents combats et si cela ne suffit pas, un mode coop permet à un autre joueur d’entrer dans la partie pour donner un coup de « poing » à Knack. À côté des phases de combat, des phases de réflexion permettent de varier les plaisirs, tout comme les phases de QTE qui ponctuent l’histoire à mesure que l’on avance. Knack II est un jeu vraiment varié, on prend même le contrôle d’un blindé le temps d’un level : il y en a pour tous les gouts !
Note 5/5

L’AVIS GÉNÉRAL
Les accros de la manette resteront sur leur faim et trouveront que le jeu est trop « enfantin ». N’empêche que Knack II est d’une grande qualité graphique avec des environnements travaillés et immersifs qui sont mis en valeur par une bande son digne d’un long-métrage. On se laisse porter par l’histoire et les aventures de ces héros sympathiques. Oui la mécanique est routinière et les phases de combats succèdent aux phases de plate-forme, en alternant avec les différentes tailles de Knack, ce qui n’empêche pas de prendre du plaisir à jouer, surtout que la longueur du jeu est plus qu’à la hauteur du prix : C’est un jeu complet !
Note 4/5

Pourquoi on aime le jeu : Parce que c’est le titre parfait pour faire découvrir aux novices les jeux d’action et de plate-forme, car même si la difficulté est modérée, le scénario, le gameplay, les graphismes et la musique ont tout de leurs ainés. Après avoir bouclé Knack II, il y a fort à parier qu’ils se jetteront sur d’autres titres du même genre : Pourquoi ne pas s’essayer aux multiples opus de la franchise Uncharted ?

[Note de la rédac’ : 17/20]

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